... et non pas un supermarché interchangeable à volonté, on pourrait essayer les nouveaux chocolats vantés par Frey Côte d'Ivoire et soutenir ce projet, bon en soi : https://www.migros.ch/de/content/frey-necaayo Tout au conditionnel, car ce nouveau chocolat durable n'est proposé que dans très peu de filiales. En revanche, l'espace disponible dans les petites et moyennes filiales est plus que suffisant pour les nouvelles tablettes Lindt Excellence. Et c'est ainsi que je continue à acheter des chocolats bio Fairtrade comparables à Gümligen, dans le même bâtiment, mais chez l'autre géant orange. Ma Migros ? Il n'y en a plus.
Tes posts sont vraiment fatigants à lire et à comprendre😅
Oui, vraiment. Charly devrait nettoyer son clavier .... ou passer d'un clavier américain à un clavier suisse ou au moins allemand .... ou encore faire ses courses chez Migros, où il n'y a pas d'alcool. 🤣
Invité-e
Migros veut regrouper ses activités de supermarché dans toute la Suisse. C'est une révolution : dans les coulisses du géant suisse du commerce de détail Migros, différentes forces travaillent au regroupement de l'activité principale. Les managers de Migros, avides de réformes, regardent avec envie de Zurich à Bâle, chez la concurrence qui a réussi il y a une vingtaine d'années ce qu'elle ne réussira probablement jamais elle-même : un assainissement des structures sous la forme d'une grande fusion. En 2001, les 14 coopératives régionales Coop ainsi que la centrale de services Coop Suisse ont été réunies en une seule grande coopérative. Chez Migros, en revanche, on ne parle que de fusions depuis des années, voire des décennies, mais elles ne sont pas réalistes. La construction de dix coopératives régionales fonctionnant de manière autonome et de la Fédération des coopératives Migros (FCM) devrait encore durer longtemps. Mais ne rien faire ne semble pas non plus être une option. C'est pourquoi le plan B est désormais au premier plan. Migros espère gagner en efficacité grâce à des processus plus centralisés. En coulisses, différentes forces travaillent à un projet qui pourrait bien être considéré comme révolutionnaire dans l'univers Migros : Elles veulent regrouper les activités de supermarché, qui contribuent à hauteur de 12,7 milliards au chiffre d'affaires total de Migros de 28,9 milliards de francs, c'est-à-dire l'activité principale proprement dite. Et tout, pas seulement les achats, qui sont aujourd'hui majoritairement gérés par la centrale FCM à Zurich, mais toute la chaîne de création de valeur, y compris la logistique et l'informatique. Une seule unité allégée permettrait d'augmenter l'efficacité, dit-on, et la nouvelle unité devrait être rattachée, au sein de l'univers Migros, "là où il y a le plus de connaissances spécialisées et les meilleurs collaborateurs". C'est en tout cas ainsi que le décrit une personne qui voit un grand potentiel dans ce plan. Il s'agit des coopératives régionales, ou plutôt des coopératives qui maîtrisent le mieux les affaires. Il ne s'agit pas forcément des plus grandes, mais des plus efficaces, selon les dires. L'"externalisation" des activités de supermarché pourrait bien être perçue comme un vote de défiance à l'égard de la FCM, explique un initié de Migros. Enfin, la centrale serait ainsi nettement réduite, devenant un simple centre de services. Mais le moment semble propice aux réformes, maintenant que le patron de la FCM, Fabrice Zumbrunnen, quitte ses fonctions après cinq ans sans avoir procédé à des réformes fondamentales et que certaines questions d'organisation sont rediscutées, comme la répartition des tâches entre les différents départements de la centrale. L'apprivoisement des coopératives régionales Migros Avec le regroupement des forces envisagé pour les activités de supermarché, les coopératives Migros suivraient une logique qu'elles ont déjà expérimentée avec plus ou moins de succès pour les activités annexes : Ainsi, elles ont récemment regroupé les activités de fitness à Migros Zurich, les terrains de golf à Migros Lucerne et les marchés spécialisés tels que Micasa ou Melectronics constituent désormais une société anonyme indépendante dans le cosmos Migros, présidée par le chef de Migros Zurich Jörg Blunschi. Le regroupement des activités dans les supermarchés présenterait encore d'autres avantages : il mettrait en échec les initiatives individuelles indésirables de certains chefs de région. L'expansion en Allemagne de la chaîne de supermarchés Tegut est regardée avec méfiance par le chef de Migros Zurich, Jörg Blunschi, et la création de Mymigros par l'ancien dirigeant de Migros Aar, Anton Gäumann, a même provoqué une colère durable. Le service de livraison, dans lequel les collaborateurs Migros font gratuitement les courses pour les clients, les emballent et les livrent en voiture électrique, est actuellement dans les chiffres rouges. "On ne peut pas faire du commerce en ligne plus stupide", dit un homme de Migros qui ne veut pas être nommé. Le successeur de Gäumann, Reto Sopranetti, n'avait en tout cas pas d'autre choix que d'optimiser le modèle commercial : Il a pris une mesure immédiate en réduisant quelque peu la zone de livraison et en introduisant des frais de livraison. Mymigros n'est donc pas encore rentable, comme le reconnaît Sopranetti dans un entretien avec ce journal, mais c'est un pas dans la bonne direction. La date à laquelle l'équilibre financier sera atteint reste incertaine. La centrale Migros ne nie pas les éventuels plans de réforme structurelle avec le regroupement des activités de supermarché. Le commerce de détail en Suisse est confronté à de grands défis, explique le porte-parole Marcel Schlatter. Les besoins des clients changent en permanence et parfois très rapidement. "Migros, en tant que coopérative, s'y prépare dans une perspective d'avenir et c'est ainsi que les coopératives régionales et la FCM réfléchissent ensemble en ce sens. Source : Bündner Zeitung du 19.11.22 - 04:30, article de Florence Vuichard.
Migros veut regrouper ses activités de supermarché dans toute la Suisse. C'est une révolution : dans les coulisses du géant suisse du commerce de détail Migros, différentes forces travaillent au regroupement de l'activité principale. Les managers de Migros, avides de réformes, regardent avec envie de Zurich à Bâle, chez la concurrence qui a réussi il y a une vingtaine d'années ce qu'elle ne réussira probablement jamais elle-même : un assainissement des structures sous la forme d'une grande fusion. En 2001, les 14 coopératives régionales Coop ainsi que la centrale de services Coop Suisse ont été réunies en une seule grande coopérative. Chez Migros, en revanche, on ne parle que de fusions depuis des années, voire des décennies, mais elles ne sont pas réalistes. La construction de dix coopératives régionales fonctionnant de manière autonome et de la Fédération des coopératives Migros (FCM) devrait encore durer longtemps. Mais ne rien faire ne semble pas non plus être une option. C'est pourquoi le plan B est désormais au premier plan. Migros espère gagner en efficacité grâce à des processus plus centralisés. En coulisses, différentes forces travaillent à un projet qui pourrait bien être considéré comme révolutionnaire dans l'univers Migros : Elles veulent regrouper les activités de supermarché, qui contribuent à hauteur de 12,7 milliards au chiffre d'affaires total de Migros de 28,9 milliards de francs, c'est-à-dire l'activité principale proprement dite. Et tout, pas seulement les achats, qui sont aujourd'hui majoritairement gérés par la centrale FCM à Zurich, mais toute la chaîne de création de valeur, y compris la logistique et l'informatique. Une seule unité allégée permettrait d'augmenter l'efficacité, dit-on, et la nouvelle unité devrait être rattachée, au sein de l'univers Migros, "là où il y a le plus de connaissances spécialisées et les meilleurs collaborateurs". C'est en tout cas ainsi que le décrit une personne qui voit un grand potentiel dans ce plan. Il s'agit des coopératives régionales, ou plutôt des coopératives qui maîtrisent le mieux les affaires. Il ne s'agit pas forcément des plus grandes, mais des plus efficaces, selon les dires. L'"externalisation" des activités de supermarché pourrait bien être perçue comme un vote de défiance à l'égard de la FCM, explique un initié de Migros. Enfin, la centrale serait ainsi nettement réduite, devenant un simple centre de services. Mais le moment semble propice aux réformes, maintenant que le patron de la FCM, Fabrice Zumbrunnen, quitte ses fonctions après cinq ans sans avoir procédé à des réformes fondamentales et que certaines questions d'organisation sont rediscutées, comme la répartition des tâches entre les différents départements de la centrale. L'apprivoisement des coopératives régionales Migros Avec le regroupement des forces envisagé pour les activités de supermarché, les coopératives Migros suivraient une logique qu'elles ont déjà expérimentée avec plus ou moins de succès pour les activités annexes : Ainsi, elles ont récemment regroupé les activités de fitness à Migros Zurich, les terrains de golf à Migros Lucerne et les marchés spécialisés tels que Micasa ou Melectronics constituent désormais une société anonyme indépendante dans le cosmos Migros, présidée par le chef de Migros Zurich Jörg Blunschi. Le regroupement des activités dans les supermarchés présenterait encore d'autres avantages : il mettrait en échec les initiatives individuelles indésirables de certains chefs de région. L'expansion en Allemagne de la chaîne de supermarchés Tegut est regardée avec méfiance par le chef de Migros Zurich, Jörg Blunschi, et la création de Mymigros par l'ancien dirigeant de Migros Aar, Anton Gäumann, a même provoqué une colère durable. Le service de livraison, dans lequel les collaborateurs Migros font gratuitement les courses pour les clients, les emballent et les livrent en voiture électrique, est actuellement dans les chiffres rouges. "On ne peut pas faire du commerce en ligne plus stupide", dit un homme de Migros qui ne veut pas être nommé. Le successeur de Gäumann, Reto Sopranetti, n'avait en tout cas pas d'autre choix que d'optimiser le modèle commercial : Il a pris une mesure immédiate en réduisant quelque peu la zone de livraison et en introduisant des frais de livraison. Mymigros n'est donc pas encore rentable, comme le reconnaît Sopranetti dans un entretien avec ce journal, mais c'est un pas dans la bonne direction. La date à laquelle l'équilibre financier sera atteint reste incertaine. La centrale Migros ne nie pas les éventuels plans de réforme structurelle avec le regroupement des activités de supermarché. Le commerce de détail en Suisse est confronté à de grands défis, explique le porte-parole Marcel Schlatter. Les besoins des clients changent en permanence et parfois très rapidement. "Migros, en tant que coopérative, s'y prépare dans une perspective d'avenir et c'est ainsi que les coopératives régionales et la FCM réfléchissent ensemble en ce sens. Source : Bündner Zeitung du 19.11.22 - 04:30, article de Florence Vuichard.
C'est dans tous les journaux. Pas besoin de le recopier. Je l'ai déjà lu à 03h00 😉
Invité-e
indios
C'est dans tous les journaux. Pas besoin de le recopier. Je l'ai déjà lu à 03h00 😉
1. ce n'est pas parce que tu l'as déjà lu que cela doit être le cas pour d'autres. 2. tout le monde n'est pas abonné à un journal.
1. ce n'est pas parce que tu l'as déjà lu que cela doit être le cas pour d'autres. 2. tout le monde n'est pas abonné à un journal.
Je n'ai pas d'abonnement au journal.
Invité-e
Invité-e
Migros veut regrouper ses activités de supermarché dans toute la Suisse. C'est une révolution : dans les coulisses du géant suisse du commerce de détail Migros, différentes forces travaillent au regroupement de l'activité principale. Les managers de Migros, avides de réformes, regardent avec envie de Zurich à Bâle, chez la concurrence qui a réussi il y a une vingtaine d'années ce qu'elle ne réussira probablement jamais elle-même : un assainissement des structures sous la forme d'une grande fusion. En 2001, les 14 coopératives régionales Coop ainsi que la centrale de services Coop Suisse ont été réunies en une seule grande coopérative. Chez Migros, en revanche, on ne parle que de fusions depuis des années, voire des décennies, mais elles ne sont pas réalistes. La construction de dix coopératives régionales fonctionnant de manière autonome et de la Fédération des coopératives Migros (FCM) devrait encore durer longtemps. Mais ne rien faire ne semble pas non plus être une option. C'est pourquoi le plan B est désormais au premier plan. Migros espère gagner en efficacité grâce à des processus plus centralisés. En coulisses, différentes forces travaillent à un projet qui pourrait bien être considéré comme révolutionnaire dans l'univers Migros : Elles veulent regrouper les activités de supermarché, qui contribuent à hauteur de 12,7 milliards au chiffre d'affaires total de Migros de 28,9 milliards de francs, c'est-à-dire l'activité principale proprement dite. Et tout, pas seulement les achats, qui sont aujourd'hui majoritairement gérés par la centrale FCM à Zurich, mais toute la chaîne de création de valeur, y compris la logistique et l'informatique. Une seule unité allégée permettrait d'augmenter l'efficacité, dit-on, et la nouvelle unité devrait être rattachée, au sein de l'univers Migros, "là où il y a le plus de connaissances spécialisées et les meilleurs collaborateurs". C'est en tout cas ainsi que le décrit une personne qui voit un grand potentiel dans ce plan. Il s'agit des coopératives régionales, ou plutôt des coopératives qui maîtrisent le mieux les affaires. Il ne s'agit pas forcément des plus grandes, mais des plus efficaces, selon les dires. L'"externalisation" des activités de supermarché pourrait bien être perçue comme un vote de défiance à l'égard de la FCM, explique un initié de Migros. Enfin, la centrale serait ainsi nettement réduite, devenant un simple centre de services. Mais le moment semble propice aux réformes, maintenant que le patron de la FCM, Fabrice Zumbrunnen, quitte ses fonctions après cinq ans sans avoir procédé à des réformes fondamentales et que certaines questions d'organisation sont rediscutées, comme la répartition des tâches entre les différents départements de la centrale. L'apprivoisement des coopératives régionales Migros Avec le regroupement des forces envisagé pour les activités de supermarché, les coopératives Migros suivraient une logique qu'elles ont déjà expérimentée avec plus ou moins de succès pour les activités annexes : Ainsi, elles ont récemment regroupé les activités de fitness à Migros Zurich, les terrains de golf à Migros Lucerne et les marchés spécialisés tels que Micasa ou Melectronics constituent désormais une société anonyme indépendante dans le cosmos Migros, présidée par le chef de Migros Zurich Jörg Blunschi. Le regroupement des activités dans les supermarchés présenterait encore d'autres avantages : il mettrait en échec les initiatives individuelles indésirables de certains chefs de région. L'expansion en Allemagne de la chaîne de supermarchés Tegut est regardée avec méfiance par le chef de Migros Zurich, Jörg Blunschi, et la création de Mymigros par l'ancien dirigeant de Migros Aar, Anton Gäumann, a même provoqué une colère durable. Le service de livraison, dans lequel les collaborateurs Migros font gratuitement les courses pour les clients, les emballent et les livrent en voiture électrique, est actuellement dans les chiffres rouges. "On ne peut pas faire du commerce en ligne plus stupide", dit un homme de Migros qui ne veut pas être nommé. Le successeur de Gäumann, Reto Sopranetti, n'avait en tout cas pas d'autre choix que d'optimiser le modèle commercial : Il a pris une mesure immédiate en réduisant quelque peu la zone de livraison et en introduisant des frais de livraison. Mymigros n'est donc pas encore rentable, comme le reconnaît Sopranetti dans un entretien avec ce journal, mais c'est un pas dans la bonne direction. La date à laquelle l'équilibre financier sera atteint reste incertaine. La centrale Migros ne nie pas les éventuels plans de réforme structurelle avec le regroupement des activités de supermarché. Le commerce de détail en Suisse est confronté à de grands défis, explique le porte-parole Marcel Schlatter. Les besoins des clients changent en permanence et parfois très rapidement. "Migros, en tant que coopérative, s'y prépare dans une perspective d'avenir et c'est ainsi que les coopératives régionales et la FCM réfléchissent ensemble en ce sens. Source : Bündner Zeitung du 19.11.22 - 04:30, article de Florence Vuichard.
Oui, je trouve aussi Migros lourd en tant que client. Prenons l'exemple de la gastronomie Migros : il y a des années, alors que je passais à la caisse du M-Restaurant à Berne, près de la Käfigturm, avec deux cafés, la vendeuse m'a gentiment fait remarquer qu'avec un carnet de café, on recevait 11 cafés, mais qu'il ne fallait en payer que 10, et elle voulait me vendre immédiatement un tel carnet. Stop - je connais cela en Suisse orientale et je voulais déjà prendre deux tickets - mais stop à nouveau : non, ce n'est pas possible, elle ne peut accepter que des tickets de Migros Aare. J'ai rétorqué : dans ce cas, je paie en espèces, cela ne vaut pas la peine pour moi - et depuis, je sais que je peux les acheter à Coire, Kreuzlingen et Wetzikon (tous des Migros de Suisse orientale), mais pas dans la ville voisine d'Uster (car Migros Zurich). Je n'ai pas testé cette anomalie entre Uster et Wetzikon faute d'occasion, mais cela correspondrait à la logique de mon expérience bernoise.
Oui, je trouve aussi Migros lourd en tant que client. Prenons l'exemple de la gastronomie Migros : il y a des années, alors que je passais à la caisse du M-Restaurant à Berne, près de la Käfigturm, avec deux cafés, la vendeuse m'a gentiment fait remarquer qu'avec un carnet de café, on recevait 11 cafés, mais qu'il ne fallait en payer que 10, et elle voulait me vendre immédiatement un tel carnet. Stop - je connais cela en Suisse orientale et je voulais déjà prendre deux tickets - mais stop à nouveau : non, ce n'est pas possible, elle ne peut accepter que des tickets de Migros Aare. J'ai rétorqué : dans ce cas, je paie en espèces, cela ne vaut pas la peine pour moi - et depuis, je sais que je peux les acheter à Coire, Kreuzlingen et Wetzikon (tous des Migros de Suisse orientale), mais pas dans la ville voisine d'Uster (car Migros Zurich). Je n'ai pas testé cette anomalie entre Uster et Wetzikon faute d'occasion, mais cela correspondrait à la logique de mon expérience bernoise.
C'est vrai : Uster n'accepte pas les livrets de café de la GMO parce que cette filiale fait partie de la GMZ. Je ne trouve toutefois pas que cela soit lourd. Le fait est que les coopératives régionales sont des entreprises autonomes qui peuvent proposer leurs propres assortiments et services en plus de l'assortiment standard. C'est ce qui rend Migros passionnante. Si cette spécificité de Migros disparaît également et que la même bouillie uniforme est proposée dans toute la Suisse, Migros ne sera définitivement plus qu'ennuyeuse.
Invité-e
Nachtspalter
C'est vrai : Uster n'accepte pas les livrets de café de la GMO parce que cette filiale fait partie de la GMZ. Je ne trouve toutefois pas que cela soit lourd. Le fait est que les coopératives régionales sont des entreprises autonomes qui peuvent proposer leurs propres assortiments et services en plus de l'assortiment standard. C'est ce qui rend Migros passionnante. Si cette spécificité de Migros disparaît également et que la même bouillie uniforme est proposée dans toute la Suisse, Migros ne sera définitivement plus qu'ennuyeuse.
Eh bien, si les carnets de café ne peuvent pas être utilisés à volonté entre Uster et Wetzikon, je ne me sens pas personnellement concerné ;-) - tout comme je ne regrette pas de ne pas pouvoir utiliser mes carnets de café de Suisse orientale au Tessin... je m'économise 70 centimes. Concernant votre argument ".... en plus de l'assortiment standard, pouvoir proposer ses propres assortiments et prestations de service", je voudrais simplement objecter ce qui suit : L'assortiment standard est de plus en plus composé de produits de marques et de discounters allemands (voir Alnatura, Rügenwalder Mühle) et je considère cela plutôt comme un appauvrissement. Logiquement - une certaine minorité est bruyante et forte et trouve en conséquence un accès et une grande compréhension auprès de M-Infoline. Les soi-disant "propres assortiments" (= c'est-à-dire la distribution de produits locaux en Suisse) sont totalement négligés (contrairement à Coop), car ils ne sont disponibles que sur le territoire national. Je pense ici à "l'émincé de veau de Züri... disponible tous les 6 mois en Suisse orientale ou le fromage frais et le yaourt tessinois (avec une inscription en dialecte - déjà spécial pour nous les "Zücchin") = bien sûr jamais disponible... Mais de temps en temps - même si ce n'était que tous les ans - les articles tessinois (à l'exception du panettone) seraient aussi quelque chose de formidable ... mais je laisse tomber. Nous nous organisons donc entre nous dans notre cercle de connaissances et nous nous communiquons mutuellement ce que l'on pourrait ramener d'une autre région du pays... Mais c'est triste : même le discounter allemand Lidl propose davantage de produits locaux - également disponibles dans d'autres régions du pays. J'aimerais mentionner quelque chose de tout à fait banal : des carottes et des "Buwärli" (= petits pois) - surgelés... Migros va les chercher en Belgique - Lidl en Suisse (avec indication du fabricant) ... mais justement...