Qu'est-ce qu'on peut encore écrire ici. Il est acceptable d'abattre des milliers d'animaux chaque jour et de les vendre dans les magasins Migros sous forme de saucisses, salami, jambon et saltimboca, mais il n'est plus acceptable de proposer un produit végétarien à cause du nom d'un produit. Il convient de noter que toute cette affaire de racisme a été orchestrée en haut lieu. La Suisse n'est pas aussi neutre qu'elle le prétend. Autrement dit : il y a plus de saletés dans le coin qu'un bâton flottant dans une station d'épuration.